Description de Sancerre de Léopold Bonnin : Rue Basse des Remparts


Rue Basse des Remparts ( Présent dans ) ( recensement 1876 ) ( en ) (1)

Géolocalisation du lieu

La Rue Basse des Remparts prend naissance au Carroir de la Porte Vieille et se termine à la Rue Porte Serrure , en face la Rue du Puits de Dieu . (2)

Sept rues y aboutissent, savoir : A droite, celles des Pressoirs du Chantre , Traversière et du Vieux Prêche . A gauche, celles des Chenevières de la Fabrique et du Dogue . (3)

Étymologie du lieu

Elle s’appelait primitivement Grande Rue Basse, puis après l’installation du monastère de notre Dame de la Miséricorde dans les bâtiments occupés aujourd’hui par le Tribunal et la Gendarmerie , c’est à dire en 1698, elle prit le nom de Rue des Religieuses . Enfin, à la révolution, elle prit définitivement celui de Rue Basse des Remparts . {Bonnin page : 158} (4)

Détail du lieu

En quittant la Rue de la Porte Vieille pour se rendre dans la Rue de la Porte Serrure , en passant par la Rue Basse des Remparts on trouve sur sa droite jusqu’à la Rue des Pressoirs  : (5)

La maison du Sieur Pierre Cornillat , sabotier , qui fait le coin et dont il a déjà été question à la Rue Porte Vieille sur laquelle elle a son entrée principale. (6)

Une autre petite maison à laquelle on arrive par un escalier situé dans une petite cour ou impasse, appartenant au Sieur Jean Mallet dit « Broquette », couvreur à Saint Firmin sur Loire , originaire de Sancerre, et occupée aujourd’hui par le Sieur Claude Polesnick père. Au fond de cette impasse se trouve une porte dépendant de la maison du Sieur Louis François Ducloux dit « Bizot », fournier Rue Porte Vieille . (7)

A la suite se trouve le pressoir (pressoir à vin) du « Grand Dîme  », faisant le coin de la Rue des Pressoirs et décrit avec la maison portant le même nom, à l’article de la Rue de la Porte Vieille . (8)

Entre la Rue des Pressoirs et la Rue du Chantre , on rencontre : (9)

La maison du Sieur Michel Thomasset Potelune dit « Meunier tout rond» ou « le Mal Pendu » (voir Rue des Pressoirs ) déjà décrite dans cette dernière rue. (10)

Une maison ayant appartenu au Sieur François Lefebvre , ancien voiturier et étant aujourd’hui la propriété de sa petite fille Céline Lafond , couturière à Paris . (11)

Un bâtiment à usage de pressoir (pressoir à vin) et de grange appartenant à François Forest dit « Sapeur » (12)

La maison du Vieux Pierre Darchy , maître maçon , actuellement occupé par son fils Frédéric Darchy . (13)

Une autre petite maison appartenant à la née Louise Lelièvre Veuve André (sur nommée « Madame Angot »), cuisinière , séparée de celle suivante par une petite ruelle. (14)

La maison du Sieur Jean Ducloux dit « l’officier » dont l’entrée se trouve au fond de la ruelle dont il vient d’être parlé, et qui lui provient de son père qui portait les mêmes nom, prénom et surnom. (15)

Une grange et vinée au Sieur Pierre Péloille clerc d’avoué suit le maison Ducloux et fait le coin d’un passage qui aboutit en traversant du jardin à la Rue des Pressoirs (voir ci contre le plan de ce passage et des maisons, qui le bordent) (16)

Au dessus de cette vinée et toujours dans le passage est un puits commun. Un escalier conduit de là dans un emplacement comprenant deux cours l’une à droite et l’autre à gauche. Dans la cour de droite se trouve l’entrée de la maison appartenant {Bonnin page : 159} à la Veuve Lelièvre née Jallot qui l’occupe avec sa fille la Veuve André . Dans la cour de gauche est l’entrée de la maison du Sieur François Chevreau Lesimple dit « la Clef ». C’est entre ces deux cours que s’ouvre la passage conduisant, comme il vient d’être dit à la Rue des Pressoirs . (17)

(18)

En redescendant l’escalier, on longe à droite la maison Chevreau la Clef et les cour et maison du Sieur Victor Forest , ouvrant sur la Rue Basse des Remparts . Cette maison ainsi que la cour qui précède proviennent à ce dernier d’acquisition faite des héritiers de Pierre Romble Péloille dit « Cadet Ronfland », vigneron . Antérieurement, elle appartenait à mon grand-père et à ma grand-mère Marie Chevreau et c’est là que sont nés ma mère Suzanne Bourgeois , ma tante Rose Bourgeois décédée religieuse de la Charité à Bourges et mes oncles Louis, Jean et Paul Bourgeois . Elle provenait à Marie Chevreau ma grand-mère de François Chevreau et d’Angélique Avril , mes aïeuls paternels qui y sont décédés. A gauche, en entrant dans la cour se trouvent une écurie et une chambres au dessus appartenant au Sieur Fulbert Couillot Semelet . La chambre est occupée par son gendre le Sieur Napoléon Biquin . (19)

Celle du Sieur François Paillard Chevreau , habitée actuellement par le Sieur Pierre Boulet , maquignon et casseur de cailloux à l’Orme au Loup , (originaire de Donzy ) (20)

Petite Histoire :Suicide par arme à feu

Cinq maisons se trouvent entre la Rue du Chantre et la Rue Traversière  : (21)

Celle du Sieur Ernest Fontaine dit « Poil fin », vigneron , qui lui provient d’acquisition faite des mineurs Guilpain , héritiers de Romble Picard (celui qui fait inhumé le premier dans le Cimetière de Saint Ladre ) (22)

Celle du Sieur Hyacinthe Paillard dit « Chigot », tisserand , qui lui provient d’acquisition faite cette année même des époux Étienne Balland dit « Têton ». (23)

{Bonnin page : 160} (24)

Celle de Jean Thomas Bourgeois dit « Montluçon », vigneron , qui est séparée de celle suivante par un petit cul de sac d’un mètre de largeur, au fond duquel ouvre une fenêtre au Sieur Stanislas Habert , vigneron , Rue du Chantre . (25)

Celle du Sieur André Maréchal dit « Cassel » ou « Filoche », vigneron , demeurant actuellement à Asnières près Bourges , occupée par le Sieur Auguste Biquin dit « Quiribi », (26)

Et celle du Sieur Jean Saujot , tailleur de pierre , qui fait le coin de la Rue Traversière et qui a son entrée dans cette dernière rue. Elle provient à Alphonsine Roger femme Saujot de la succession de François Roger dit « Reguingnat », vigneron et de Marie Maréchal dite « Marie Canne », ses père et mère. (27)

De la Rue Traversière à la Rue du Vieux Prêche , on trouve : (28)

La maison du Sieur Ernest Fontaine dit « Poil fin », qu’il habite et qui est nouvellement reconstruite. Elle lui provient d’acquisition faite de Paul Bourgeois , vigneron et de Pauline Planchon , sa femme. (29)

Celle de la née Anne Maréchal , Veuve de Jean Paillard dit « Cassinot », vigneron et bouilleur d’eau de vie . (30)

Un petit passage au fond duquel est une maisonnette habitée par le Sieur Pierre Fontaine dit « La Graine », vigneron , qui en est propriétaire. (31)

Une autre petite maison appartenant encore à la Veuve Jean Paillard « Cassinot » sur nommée et habitée par la Veuve Michelon . (32)

La maison du Sieur Louis Thomas dit « Bastille », vidangeur , qui lui provient de son père François Thomas dit « Bastille ». (33)

Une maison comprenant une écurie au rez de chaussée, une chambre dessus à laquelle on arrive par un escalier en pierre partant de la rue. Une grange sur le côté ouvrant sur le passage dont va être parlé ci-après. Le tout appartenant au Sieur Paul Péloille Malleron , vigneron et chantre de la paroisse et lui provenant de son père Paul Péloille dit « six doigts » ancien conseiller municipal et ancien Maître Chantre , lequel possédait une voix magnifique. (34)

Un passage qui prend naissance sur la rue, immédiatement après avoir passé la maison Péloille , contourne cette maison et va aboutir à une autre petite maison situé au fond de ce passage, à droite et appartenant au Sieur Auguste Robineau Peloille (Péloille), vigneron . Un jardin assez vaste appartenait au même propriétaire, se trouve en face de la maison et à gauche. En revenant sur ses pas, on trouve, toujours sur le même côté que le jardin deux maisons appartenant au Sieur Étienne Forest Bernon , vigneron et occupées par lui. (35)

Un petit enclos faisait face aux bâtiments du Tribunal , composé d’une cour sur le devant, d’une maison en très mauvais état de réparation au fond et d’un jardin faisant le coin de la Rue du Vieux Prêche , se trouve à la suite du passage qui vient d’être indiqué. Le tout appartenant à la née Marie Sautereau Veuve de Pierre Lerat dit « le Soldat » et à ses enfants. (36)

Petite Histoire :Une maison très sale

La Rue du Vieux Prêche sépare ce petit enclos de la maison suivante qui appartient aujourd’hui au Sieur François Louis Ducloux père dit « Bizot », vigneron , lequel la tient de Mathieu Ducloux . Elle est occupée par le Sieur Anselme Semelet , tonnelier . La cour fait le coin de la Rue du Vieux Prêche , le bâtiment ne vient qu’après. Il est très ancien et il a parfaitement conservé son cachet. Les fenêtres du 1er étage sont à morceaux de pierre et éclairent une pièce très vaste qui a dû être le salon de famille et à laquelle on arrive par un grand escalier en pierre étant dans le plus mauvais état et construit dans une tourelle donnant sur la cour. Cette maison qui environs de 1500, appartenait à un né Antoine Bernard était le 7 mai 1525 la propriété de Mathieu Gévry , notaire et praticien à Bannay , lequel par un acte dit jour, passé devant Debret , notaire , reconnaissait que la dite maison était grevée de deux deniers tournois de cens, au profit de demoiselle Anne Loison Dame de Chantereine payables le jour de la commémoration des morts sur le lieu de la Croix de la Paneterie à Sancerre (voir l’article de la Place de la Paneterie ) (37)

Deux petites maisons et une cour séparent la maison qui vient d’être décrite de la Rue de la Porte Serrure , savoir : (38)

La maison du Sieur Jean Guilpain père, habitée actuellement par le Sieur Germain Allaurent , ancien charpentier , (39)

la maison de la née Marie Péloille Veuve Forest , surnommée « La mère Cucotte »,qui l’habite, (40)

et la cour de la maison du Sieur Clovis Guillaumot dont l’entrée est dans la Rue de la Porte Serrure . (41)

A gauche, en partant du Carroir de la Porte Vieille , on trouve d’abord un petit bâtiment servant d’écurie, se terminant en pointe sur le dit carroir et appartenant au Sieur François Bernon Cordier , dit « Tonton », vigneron (voir à l’article de la Rue des Chenevières ). (42)

A la suite se trouvent, une écurie et une maison faisant « Coche », appartenant au Sieur Pierre Gaucher Bouillot , vigneron et lui provenant de son grand-père le Sieur Étienne Picard . (43)

Une maison appartenant au Sieur Simon Vergnon , actuellement inhabité, (44)

Une cour sur le côté droit de laquelle est une vieille maison appartenait pour le rez de chaussée au Sieur François Bernon dit « Tonton » sur nommé et pour le 1er étage à un né Lelièvre de Ménétréol sous Sancerre . Cette maison n’a rien de remarquable si ce n’est la 1ère marche de la cave étant dans {Bonnin page : 162} la cour, à droite, sur laquelle se trouve gravé, en lettres du XIVème siècle, un fragment d’inscription qu’il n’a été impossible de déchiffrer. (45)

Une viné et une maison d’habitation à Louis Paillard dit « Capet ». (46)

Enfin une petite maison habitée par François Pouillot Gouzeau et appartenant à Céline Lafond , couturière à Paris . (47)

La sortie de la Rue des Chenevières se trouve entre la maison Lafond et le bâtiment du Sieur Pierre Darchy , maçon , qui set à ce dernier de magasin (magasin du maçon), pour y déposer ses échelles et autres ustensiles. Sous ce magasin , le Sieur Darchy a trouvé il y a quelques années, une source très abondante qui fournit de l’eau à tout le quartier pendant les sécheresses de l’été. (48)

Une petite cour au fond de laquelle est une maison habitée par les Sieurs Racle et Dumas et déjà décrite à l’article de la Rue des Chenevières , suit le magasin Darchy . (49)

On trouve ensuite une cour et une maison au Sieur Auguste Chotard , une écurie à la née Louise Lelièvre Veuve André et un jardin au Sieur Hyacinthe Planchon dit « Bonbleu ». (50)

Une cour commune entre ce dernier, le Sieur Auguste Jampierre dit « Flanquette », François Paillard , Vincent Darchy et Auguste Chotard , vient à la suite. (51)

Au fond de cette cour, à droite, est la maison du Sieur Jampierre . Le rez de chaussée lui sert d’atelier de tisserand et le premier étage d’habitation. (52)

Un jardin situé proche cette maison, en tirant sur la gauche, apportant au Sieur François Paillard . (53)

Les autres jardins à la suite, jusqu’à la propriété du Sieur Laforge , appartiennent aujourd’hui aux Sieurs Chotard et Darchy sur nommés. Dans le principe ils ne formaient, avec deux autres au dessous qui joutent le rempart, qu’un seul et unique morceau qui appartenait à Paul Bourgeois , mon aïeul paternel. En 1837, il fut partagé en quatre parties qui furent attribuer, savoir : Les deux longeant la propriété du Sieur Lafarge (Laforge), c’est,à dire au midi, à ma mère Suzanne Bourgeois et à mon oncle Jean Bourgeois et les autres à es oncles Paul et Louis Bourgeois . (54)

Petite Histoire :Découverte d’un silos de grains datant du siège de Sancerre

A la sortie de la cour commune on rencontre la maison du Sieur Huacinthe Planchon dit « Bonbleu », vigneron , qui lui provient de ces père et mère Ursin Planchon et Cécille Péloille , lesquels l’avaient, je crois, acquise de Rose Mouton Veuve Léveillé ou de ses héritiers. (55)

La maison qui suit fait le coin de la Rue de la Fabrique sur laquelle elle a une sortie. (56)

Elle est habitée par les propriétaires les époux François Forest , dit « sapeur » et elle provient à la femme de la succession de son père Jean Bernon . (57)

L’autre coin de la Rue de la Fabrique est occupé par une maison dont il a déjà été fait mention à l’article de cette rue. Le rez de chaussée qui a leur entrée sur la Rue Basse des Remparts appartient au Sieur Pierre Péloille , clerc d’avoué , qui l’occupe. Il la tient du son père Pierre Péloille Malleron qui l’avait acquis de la Veuve Dubois Frachard . Le 1er étage qui appartient au Sieur Louis Forest dit « Brouton », a son entrée sur la Rue de la Fabrique {Bonnin page : 163} (58)

Petite Histoire :La fabrique de boutons, puis dépôt de salpêtre

La maison suivante appartient au Sieur Simon Bonnard , vigneron et elle appartenait antérieurement, je crois, à la femme Torteau née Thomas (voir ci-dessus à la description du côté droit de la présente rue). (59)

Deux petits jardins suivent qui appartiennent le premier au Sieur François Paillard et la deuxième au Sieur Ernest Fontaine . (60)

Entre ce dernier jardin et la maison Saujot , qui sera décrite ci-après, se trouve un passage conduisant à différents terrains et sur la gauche duquel a été édifiée il y a une quarantaine d’années, une maison faisant face du nord est appartenant aujourd’hui au Sieur Pierre Paillard dit « Auguste Meloze ». (61)

A l’entrée de ce passage, qui se trouve jusqu’en face la Rue du Chantre , existait encore il y a quelques années, un orme d’une assez belle venue et dans lequel les habitants du quartier avaient l’habitude, depuis un temps immémorial, de dresser un Reposoir le premier dimanche de la Fête Dieu (Mardi Gras). (62)

Petite Histoire :En 1848, l’orme et le reposoir amena la démission du maire

Une maison appartenait à Jean Saujot et habitée par le Sieur François Ducloux dit « Gnégné » se trouve à la suite du passage dont il a été parlé d’autre part. Une petite cour sur le côté droit et au jardin par derrière s’étendant jusqu’au Rempart, dépendant de cette maison. {Bonnin page : 165} (63)

Entre la petite cour du Sieur Saujot et la maison du Sieur Pierre Paillard , dont sera ci-après parlé se trouve un passage à l’entrée duquel est un puits dit « le puits du quart ». En pénétrant dans ce passage on rencontre d’abord sur sa droite un escalier en pierre conduisant à une chambre éclairée par une fenêtre sur la Rue Basse des Remparts , habitée par le Sieur Elie Boitard , vigneron et appartenant à la nommée Elisa Guyot femme Bazoge , de Paris . Plus loin, un petit bâtiment faisant angle et occupé par le propriétaire le Sieur Pierre Lerat Serveau . Par derrière se trouve un jardin aboutissant au Rempart et appartenant au même. Ces bâtiments et jardin proviennent au Sieur Lerat d’acquisition faite en 1875 des héritiers du Sieur Jacques Cyprien Péloille dit « tête laide », ancien porteur de contraintes , lequel par acte sous seings privés du 11 novembre 1854, approuvé le 4 août 1855 par le Préfet du Cher, avait déjà vendu à la ville, une partie du dit « jardin » contenant 40 centiares, qui avançait considérablement sur le rempart. (64)

La 1ère maison en sortant du passage appartient au Sieur Pierre Paillard dit « Auguste Maloze » et est occupée par le Sieur Claude Lognon , vigneron . (65)

Une porte de cave se rencontre après, exactement au dessous de la fenêtre de la maison Guyot Bazoge dont il vient d’être parlé. Cette cave dépend de la dite maison. (66)

A la suite de cette porte de cave est une maison appartenant au Sieur Louis Thuault , vigneron , surnommé « Duvergier » à cause de son verbiage et de sa soi disant ressemblance avec Monsieur Prosper Duvergier de Hauraine, propriétaire du Château d’Herry et qui joue un rôle si important dans la règne de Louis Philippe 1er . Au nord de cette maison et en face la Rue Traversière se trouve une cour appartenant également au Sieur Thuault ainsi qu’un jardin sis par derrière et s’étendant jusqu’au Rempart des Dames . (67)

Entre la cour du Sieur Thuault et la Rue du Dogue se trouvent la caserne de Gendarmerie à cheval, le Tribunal et la Prison , et le Temple protestant qui formaient anciennement le monastère des religieuses de la miséricorde . (68)

Petite Histoire :Installation des Religieuses de Notre Dame de la Miséricorde

Petite Histoire :Construction de la chapelle des Religieuses de la Miséricorde

Petite Histoire :Cimetière de la chapelle des Religieuses de la Miséricorde

Petite Histoire :Liste des Religieuses de la Miséricorde

Petite Histoire :Description du couvent des Religieuses de la Miséricorde

Petite Histoire :Démantèlement de couvent des Religieuses de la Miséricorde

Petite Histoire :Gendarmerie

Petite Histoire :Tribunal

Petite Histoire :Temple protestant

Après avoir passé la Rue du Dogue , on trouve : (69)