L'autre bâtiment qui est lui plus important comme emplacement n'a qu'un rez de chaussée et est séparé de la rue par une petite terrasse, sur une partie de laquelle a été construit en 1862, un pavillon pour l'installation du bureau télégraphique. La partie qui joute ce pavillon est habité par l'employé du Télégraphe et est loué à la ville moyennant un fermage de cinq cents francs par an. Au dessus d'une des fenêtres de cette habitation, au nord-est est un écusson en pierre représentant les armories suivantes : d'Azur à trois fasces d'or, au chef de gueules orné de deux têtes de femme. (2)
J'ignore à qui appartenaient ces armoiries dont je donne ci-contre le croquis. (3)
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